Dans un secteur souvent perçu comme dur, exigeant, et parfois impersonnel, Ladame Métallerie trace un chemin différent.
Celui d’une entreprise où l’humain est au cœur de tout.
Et si cette philosophie est aujourd’hui ancrée dans l’ADN de la structure, c’est parce qu’elle découle d’une conviction forte portée par son fondateur, Benjamin Ladame.
« Je vois le patron comme celui qui tire le chariot. »
C’est par cette image que Benjamin résume sa vision du leadership. Un patron, selon lui, ne se contente pas de donner des ordres. Il montre l’exemple. Il donne l’impulsion. Il prend les décisions, reste solide, assume, et avance — sans jamais oublier ceux qu’il emmène avec lui.
Mais au-delà de la force et de la direction, il y a aussi une part essentielle : l’empathie. Comprendre les réalités personnelles, écouter, accompagner, et surtout : créer un environnement de travail où chacun peut évoluer, progresser, s’exprimer.
Benjamin le dit sans détour :
« Collaborer, c’est comme une vie de couple. Pour que ça marche, il faut parler du bon et du mauvais. »
C’est pourquoi, chez Ladame Métallerie, la communication est un socle. Réunions hebdomadaires, échanges directs, implication dans les décisions… rien n’est laissé au hasard. Car une équipe soudée, c’est d’abord une équipe qui communique.
Travailler dans la métallerie, c’est exercer un métier technique, manuel, parfois physique. Et dans un marché de l’emploi où les candidats qualifiés se font rares, Benjamin l’affirme : ce n’est plus aux salariés de convaincre l’entreprise, mais bien à l’entreprise de donner envie.
« C’est à nous, dirigeants, de faire en sorte que les gens aient envie de rester. »
Cela passe par :
Chez Ladame Métallerie, personne n’est cantonné à sa tâche sans vision d’ensemble. Chacun, à son échelle, est impliqué dans le développement global de l’entreprise.
Que ce soit à l’atelier, au bureau d’études ou à la pose, chaque membre de l’équipe comprend les enjeux, les objectifs, et participe à sa manière à l’évolution de la structure.
« Je ne veux pas que quelqu’un à l’atelier travaille sans savoir où on va. Ici, tout le monde sait pourquoi il fait ce qu’il fait. »
Ce qui rend Benjamin fier, ce ne sont pas les chiffres.
Ce sont ces matins où il voit ses collaborateurs arriver avec le sourire. Ce sont ces projets menés à bien, non pas dans la contrainte, mais avec envie, implication, et fierté.
Ce sont aussi les talents qui s’épanouissent, qui montent en compétence, qui se projettent.
Et cette volonté permanente de faire évoluer l’entreprise sans perdre ce qui en fait la force : sa dimension humaine.
Envie de faire partie de l’aventure ?
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